Archives de catégorie : Le numérique éducatif

Enseigner avec le numérique

  • Primàbord : Portail national collaboratif dédié aux usages du numérique du cycle 1 au cycle 3. Il mutualise des ressources pour enseigner (activités, séances, séquences…), pour s’inspirer (dispositifs, projets…) ou pour se former (documents de référence, parcours M@gistère…). https://primabord.eduscol.education.fr/
  • Cycle 1/2 : un générateur de modèle d’écriture gratuit et sans inscription avec Teachapp.fr

Initier les élèves à la pensée informatique et à la programmation avec Scratch

Vous trouverez en cliquant sur le lien suivant :

http://lig-membres.imag.fr/tchounikine/PenseeInformatiqueEcole.pdf

un document signé de  Pierre Tchounikine,(Université Grenoble-Alpes – Pierre.Tchounikine@imag.fr)   dont l’objectif est d’essayer d’aider les enseignants (et les formateurs d’enseignants) à y voir plus clair sur cette question.

Pour cela, il propose des informations et des réflexions pour connaître et comprendre le domaine, les discours, les programmes et les principales ressources existantes mais, surtout, pour développer une réflexion personnelle sur quoi enseigner, pourquoi et comment.

Le texte aborde successivement l’enseignement de l’informatique de façon générale, puis l’enseignement de la pensée informatique, puis les ressources utilisables. Il est structuré autour de la liste de questions suivantes :
1. Pourquoi enseigner l’informatique à l’école primaire ? (arguments proposés ici et là, programmes actuels, confusions et mauvaises interprétations à éviter, position personnelle).
2. Que faut-il faire pour enseigner l’informatique à l’école ? (il n’y a pas besoin d’être ou de devenir «informaticien», c’est accessible à tous les professeurs des écoles, mais il faut avoir les idées claires sur ses objectifs pédagogiques).
3. Quels objectifs pédagogiques peut-on considérer ? (il est important de dissocier des objectifs qui peuvent être de natures très différentes).
4. Qu’est-ce que c’est que la «pensée informatique» et pourquoi l’enseigner ? (définitions, intérêt, connaissances requises, etc.).
5. Que veut dire « utiliser Scratch pour enseigner la pensée informatique » ? (principes généraux, puis une série d’exemples thématiques    : un exercice faisant écrire aux élèves un algorithme
; un exercice de «pensée informatique», illustrant par ailleurs la différence entre « utiliser un programme» et «construire un algorithme/programme» ; un exercice couplant maths et pensée informatique, illustrant par ailleurs comment aligner le moyen «Scratch » avec l’analyse pédagogique/didactique ;
un exercice couplant production d’écrit et pensée informatique ; et enfin un exercice autour de la résolution de problèmes).

6.Comment aborder l’enseignement de la pensée informatique ? (il y a deux approches non-disjointes mais significativement différentes, l’approche «orientée algorithmique» et l’approche «orientée créativité»).

7. Que faut-il comprendre à Scratch en tant qu’enseignant, et comment s’y prendre ?
8. Comment définir et gérer des situations pédagogiques ?
9. Quelles difficultés peut-on attendre/anticiper ?
Voir aussi dans la collection « Vous avez une minute pour » la vidéo suivante : https://www.youtube.com/watch?v=4gpmdAmdJgA

Sensibilisation à la programmation

La Mission Numérique 85 vient de mettre en ligne  une séquence permettant aux cycles 1, 2 et 3 de l’école primaire d’initier les élèves aux activités de codage, d’algorithmique, de programmation.
Pour chacun des cycles, entre cinq et sept séances sont proposées pour cette sensibilisation à la programmation. Ces séances sont progressives et se divisent en trois parties : des séances «corporelles», des séances « débranchées » et des séances « branchées ».
Les séances et leurs documents d’accompagnement sont téléchargeables ici : La Mission Numérique 85

Lire la suite de l’article Sensibilisation à la programmation

Créer des minilivres

Les « minilivres » sont une forme de pliage (avec une coupe) d’une feuille de papier (de format
rectangulaire) qui permet de constituer un livret de 8 pages à partir d’une feuille A4.

techniques1_2
Cette forme est intéressante parce qu’elle est d’un seul tenant.
Il n’y a pas d’agrafages qui gênent l’ouverture du livre. techniques4_2

Avantage supplémentaire, c’est le même côté de la feuille qui est utilisé par le lecteur.
Cela rend donc possible une impression et une reproduction en nombre.

Voir la technique du  pliage du minilivre

Compte tenu du pliage, certaines parties du texte doivent être imprimées à l’endroit et d’autres à l’envers.

L’application « minilivres » se charge de gérer ces contraintes de manière totalement transparente pour l’utilisateur et autorise la saisie « au kilomètre », l’insertion d’images, la conversion en pdf (afin de s’affranchir de tout problème de paramétrage d’imprimante).


Le logiciel « mini-livre » est passé à la version 2 : il s’agit désormais d’une application en ligne que vous pouvez utiliser directement dans votre navigateur internet

Vous trouverez cette application en ligne à l’adresse suivante : http://minilivre.free.fr/

 

L’intérêt des minilivres :

La forme des petits livres est a priori intéressante à plusieurs titres :
Le petit format paraît d’emblée sympathique aux enfants.
Ce format de poche est donc pratique pour :

  • – la consultation de choses à mémoriser (tables de multiplications, conjugaisons, dates, règles,….)
  • – la prise de note
  • – la disponibilité dans la poche de choses utiles (listes, jeux pour passer le temps, devinettes, emploi
  • du temps, ….).

Si on excepte la première de couverture, sept pages sont disponibles pour recueillir un écrit. Nous
restons donc dans des écrits relativement courts.

Les minilivres peuvent constituer des supports à différents types d’écrits :

  • – récits (avec un texte plus ou moins élaboré, plus ou moins illustré),
  • – album,
  • – bande dessinée ,
  • – recueils de textes courts (poésies, fables, haïkus, etc…),
  • – documentaires (plus ou moins illustrés),
  • – livre-outils (livre de reconnaissance de plantes ou d’animaux,… répertoires de tables, de
  • conjugaison, livre de recettes..),
  • – compte-rendus d’expériences, de visites (en maternelle, en cycle 2), d’évènements, recettes
    ( » Comment fabriquer … ? « ) voire synthèses de leçon,
  • – revues, bulletins…

Un petit livre peut lui-même constituer la partie d’un tout plus important et n’être qu’un tome
d’un livre plus important (exemples : mini_encyclopédie , Abécédaires, ….) ou un élément d’une
collection (recueil de poèmes), le numéro d’un bulletin.

Pour plus d’informations, se reporter au rapport professionnel PE2 suivant :

Auteur : Loig Legrand-Lafoy, PE2, Iufm de Bretagne, site de Vannes, 2008-2009. Voir ce site : http://petitslivres.free.fr/index_techniques.htm


Titre : Les petits livres, un outil au service des apprentissages ( http://petitslivres.free.fr/techniques/dossierpro01.pdf )Ce rapport s’appuie sur des travaux réalisés dans des classes allant de la maternelle au cm2.

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Symbaloo en page d’accueil

Avoir tous ses liens en page d’accueil :

L’équipe départementale Atuic 71 vous propose d’accéder facilement à des ressources pédagogiques regroupées de façon thématique par l’intermédiaire des webmix Symbaloo.


L’un regroupe des liens utiles pour la maternelle et l’autre pour l’élémentaire :
 

http://www.symbaloo.com/mix/maternelles71

symbmat
http://www.symbaloo.com/mix/ecoles71 symbecole
Un troisième rassemble des ressources utiles pour la direction :

http://www.symbaloo.com/mix/directeurs71

ou les enseignants :

http://www.symbaloo.com/embed/enseignants71

symbdir
D’autres rassemblent des ressources utiles concernant les tablettes tactiles et les TBi /VPi / TNi :

http://www.symbaloo.com/embed/tablettesnumeriques1

http://www.symbaloo.com/embed/tni71

 

symbdir

Les deux premières pages peuvent être placées en pages d’accueil sur les ordinateurs des classes (voir ici pour savoir comment faire).

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